Sikania

Agnese Migliore | chant, accordéon, percussions | Baignée toute son enfance dans la culture sicilienne, Agnese entreprend, une fois arrivée en France, de renouer avec ses racines musicales. Elle prend des cours de chant avec Michelle Zini, Magali Germain et Sandra Campas. Elle participe à des ateliers de chant polyphonique à Music Halle (Toulouse). Pour porter sa voix, elle apprend l’accordéon à l’école Salamandre et continue sa formation avec Jean-Luc Amestoy. Elle s’intéresse aux chants du monde : chant tzigane, forro et musiques d’Amérique du Sud. Elle est à la genèse de Sikania mais aussi chanteuse sur des projets de musique italienne produits par la revue Radici, production Editalie. Elle travaille avec la compagnie jeune public Amapola, en tant que comédienne et musicienne et aussi avec la Compagnie de théâtre de rue Les Monts Rieurs. Elle dirige une chorale de chants polyphonique de musique du monde, Nomade Vox.

Aude Bouttard | contrebasse, chant, percussions | Élève au conservatoire de région de Toulouse pendant 11 ans, elle étudie le piano puis la contrebasse avec Mr Junker. Elle intègre ensuite le cursus professionnel de Music Halle à la contrebasse avec Julien Duthu et au chant avec Michelle Zini. Elle commence à jouer avec un groupe de musique traditionnelle de l’Est, Rodinka. Au gré des rencontres, elle participe à l’enregistrement d’un album pour enfants. Elle collabore avec Emilie Cadiou dans un tour de chant en duo : DIOD. Avec Sikania, un trio de musique du sud de l’Italie, elle mêle l’empreinte traditionnelle et l’improvisation jazz. Elle travaille également avec Marin et son spectacle Jeune Public ‘PitPit !’. Elle intègre les Trash Croutes, pop pourrie francophone avec la création d’un spectacle pour les adolescents ‘Libres !’. Elle oriente également la pratique de son instrument vers la rencontre avec d’autres disciplines (projets de théâtre, lecture et conte, danse contemporaine).

Sébastien Cirotteau | trompette, chant, percussions | Trompettiste de la tendance «avec les tripes». A fait ses armes auprès de vieux brigands de l’improvisation libre radicale. A mis de l’eau trouble dans son vin – sans soufre – et s’est réconcilié, entre autre, avec Mélodie, Harmonie et leurs amies. Entretient une relation extra conjugale avec une pichotte, et parfois un orgue. Joue dans les jardins publics, les crèches, les scènes de France et partout ailleurs, sans distinction. Envisage la musique comme un rituel de joie et de partage. Et pour plagier un clarinettiste québécois, il y a mille trompettistes qui jouent mieux que lui, mais aucun qui joue comme lui.